Les armes de la ville portent le lion normand, les lys de France et aussi une salamandre L’animal fétiche de François Ier, capable de traverser les flammes. La ville n’est plus, en septembre 1944, qu’une table rase. L’Etat redevient le décideur numéro 1 qui pilote la reconstruction d’Auguste Perret et aussi les agrandissements perpétuels du port.
Mais, avec la mondialisation, les impulsions déterminantes ne vont plus venir des acteurs nationaux ou locaux. Le Havre s’est mise avec brio au rythme des conteneurs. Cependant Anvers et Rotterdam vont plus vite. La question de la marginalisation du port est posée. Automne du Havre ? En tout cas, la ville prépare de brillantes festivités pour le cinq centième anniversaire, tout le printemps et l’été qui viennent."
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